L’Union Africain exhorte le progrès sur la procédure judiciaire…
L’Union Africain exhorte le progrès sur la procédure judiciaire de Darfur, Menacé de sanctionner.
Le Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union Africaine(CPS) a exhorté les médiateurs en ce qui concerne le progrès de la résolution de conflit du Dafur au cours des trois mois à venir et a menacé de sanctionner ceux qui continuent d’entraver les efforts en cours pour une paix durable.
Dans la réunion tenue le 20 Février 2018, le CPS disait qu’il s’est souci par le processus de paix en Dafure « inutilement prolongé » et demandé pour un règlement rapide du conflit qui a duré pour 15 ans.
Le conseil a également soulignée « le manque de l’engagement de la part des mouvements d’armés non-signataires du Dafur » et les a exhorté d’engager des discussions avec le gouvernement sur la base du Document de Doha pour la paix en Dafur(DDPD)
Suivant les instructions de la réunion, le Groupe de Mise en Œuvre de Haut Niveau de l’Union Africaine(GMHUA) et la mission hybride de maintien de la paix connu sous le nom de UNAMID pour « continuer dans leur engagement avec les parties qui sont liée au conflit » et mettre en courant à ses membres des progrès accomplis.
Sur la base des résultantes des efforts de la médiation, la Commission de l’UA devrait élaborer des mesures possibles en Mai 2018 y compris des sanctions possibles contre tous ceux qui continuent d’entraver les efforts en faveur de paix et de la sécurité durables en Dafur. Cité d’une déclaration publie en Lundi, le 27 Février.
Les groupes de résistance y compris le Mouvement pour la Justice et l’Egalité(MJE), le Mouvement de Libération du Soudan-Minn Minnawi (MLS-MM) ont refusé de signer le DDPD en Juillet 2011 et ont demandé à l’ouverture d’un accord.
D’autres groupes comme le Mouvement du Soudan-Abdel Wahid(MLS-AW) ont rejeté ses conclusions.
Le Panel de médiation de l’Union Africaine(GMHUA) dirigé par l’ancien président de l’Afrique du Sud, Thabo Mbeki a proposé un processus holistique pour mettre fin aux conflits armées et produire des reformes politiques au Soudan.
Faisant allusion aux rapports internationaux sur l’utilisation des groupes du Dafur dans les conflits armés dans la région, le conseil a souligné « la nécessité d’un respect scrupuleux des principes de bon voisinage pour soutenir les efforts visant à créer un environnement favorable pour le paix et stabilité durables en Dafur.